9 juillet 2006
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11:56
Je mets cet aide-mémoire sur les trackbacks sur mon blog (rubrique « techniques blog ») pour être sûr de le retrouver quand j’ai besoin de faire un trackback (pour l’instant je n’en ai fait qu’un, sur le site de Jean-Michel Billaut qui m’avait interviewé), cette notion étant loin d’être évidente, relevant presque de la logique mathématique !
Tout d’abord jouons cartes sur tables : l’intérêt pour A (Alexandre) de faire un trackback entre une page du site de B (Billaut) vers une page de son propre site A est d’amener des internautes visitant le site B vers son site A.
Pour ceci, il faut d’abord que B autorise les trackbacks en règle générale. A va regarder sur la page du site de B qui l’intéresse et copie « l’adresse de trackback » qui n’est bien évidemment pas celle de l’URL, en l’occurrence je la mets en clair ici http://www.typepad.com/t/trackback/4842488
Ensuite A va sur la page de son propre site (attention, pas dans son outil administrateur, mais sur la page publique !) et utilise la commande « créer un trackback » (sur Over-Blog, en tout cas, c’est comme cela qu’elle figure). A clique, un écran apparaît comme pour la création d’un commentaire, A rentre l’adresse de trackback ci-dessus, et met une explication destinée à apparaître sur le site de B : attention cette explication doit être adaptée aux lecteurs de la page de B.
Et, comme dit un des forumeurs d’Over-Blog, MIRACLE, la page du site de B se trouve implémentée de la redirection vers la page du site de A concernée, et de l’explication de A. C’est comme si A avait codé en HTML sur la page de B, sans bien sûr avoir les codes administrateur de B ; autant dire qu’un trackback est assez intrusif…
On notera en complément deux éléments importants :
1) B peut retirer quand il le souhaite, avec son otuil administrateur, le trackback ainsi créé par A sur une de ses pages, s’il le juge inopportun ou non conforme à sa ligne éditoriale.
2) Le plus amusant, c’est que toute la démarche ainsi décrite pour A peut être faite par un tiers internaute C, qui décide que ce qu’écrit A peut intéresser les lecteurs de B…
Tout d’abord jouons cartes sur tables : l’intérêt pour A (Alexandre) de faire un trackback entre une page du site de B (Billaut) vers une page de son propre site A est d’amener des internautes visitant le site B vers son site A.
Pour ceci, il faut d’abord que B autorise les trackbacks en règle générale. A va regarder sur la page du site de B qui l’intéresse et copie « l’adresse de trackback » qui n’est bien évidemment pas celle de l’URL, en l’occurrence je la mets en clair ici http://www.typepad.com/t/trackback/4842488
Ensuite A va sur la page de son propre site (attention, pas dans son outil administrateur, mais sur la page publique !) et utilise la commande « créer un trackback » (sur Over-Blog, en tout cas, c’est comme cela qu’elle figure). A clique, un écran apparaît comme pour la création d’un commentaire, A rentre l’adresse de trackback ci-dessus, et met une explication destinée à apparaître sur le site de B : attention cette explication doit être adaptée aux lecteurs de la page de B.
Et, comme dit un des forumeurs d’Over-Blog, MIRACLE, la page du site de B se trouve implémentée de la redirection vers la page du site de A concernée, et de l’explication de A. C’est comme si A avait codé en HTML sur la page de B, sans bien sûr avoir les codes administrateur de B ; autant dire qu’un trackback est assez intrusif…
On notera en complément deux éléments importants :
1) B peut retirer quand il le souhaite, avec son otuil administrateur, le trackback ainsi créé par A sur une de ses pages, s’il le juge inopportun ou non conforme à sa ligne éditoriale.
2) Le plus amusant, c’est que toute la démarche ainsi décrite pour A peut être faite par un tiers internaute C, qui décide que ce qu’écrit A peut intéresser les lecteurs de B…